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Une jeune femme poursuit sa réflexion théologique, suite à la découverte de la foi chrétienne cette année. En route pour 2025.
Noël : aujourd’hui « Christ est notre Pâque » (Luc 2 ; Romains 6 ; 1 Corinthiens 10)Pour nous aider à saisir ce que Dieu nous apporte, Paul nous dit que « Christ est notre Pâque », c’est à dire qu’il opère notre libération. Paul Ricœur dit qu’en tant que croyant, nous pourrions nous demander comment libérer le fond de bonté de l’homme ? Il y a tellement de malheur, de désespérance, de violence.
Noël : Le salut a la nature d’un enfant (Paul Tillich)L’événement du salut, c’est la naissance d’un enfant. Un enfant est réel et n’est pas encore réel. Il est dans l’histoire, sans encore être historique. Sa nature est visible et invisible. Il est là et il n’est pas encore là. Telle est exactement la caractéristique du salut.
Pourquoi faudrait-t-il souffrir pour être aimé de Dieu, alors que par définition il est Amour et surtout amour inconditionnel ?Bravo d’avoir écouté plein de choses différentes et de ne pas être tombée dans le panneau de ces prêches inquiétants. Dieu est amour et il fait, depuis toujours et sans cesse, tout pour nous relever, nous élever, nous faire du bien, nous épanouir. Nous voir souffrir et nous priver n’est pas quelque chose qui lui apporte la moindre satisfaction.
Que pouvez-vous me dire sur ce passage « Qui mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement… » (1 Corinthiens 11:27-32) ?Certains versets peuvent sembler menaçants. On peut les écarter, on peut aussi chercher s’il y a quelque chose à en tirer d’utile tout en étant compatible avec le fait que rien ne peut venir de dieu que du bien. Proposition de lecture de ces versets qui ont fait bien des dégâts…
« Un souvenir de bonté » (Luc 1:41-56 – Le Magnificat de Marie)Dans les évangiles selon Luc et Jean, Marie est la figure du croyant, nous sommes appelés à nous reconnaître en elle. Le salut qu’elle chante c’est de participer à l’œuvre de salut que Dieu fait dans le monde. Elle explique comment.
Dieu nous a donné le libre arbitre, pourquoi envoyer en enfer ceux qui n’auront pas donné leur vie à Christ ?Bien des fausses rumeurs présentent Dieu comme tout puissant, et assez pervers : je t’ai tout donné, à toit de tout me donner. L’Evangile dit l’inverse. Bien sûr que l’humanité est décevante, elle est aussi merveilleuse et Dieu ne perd pas espoir, et nous non plus.
« Et voici : les larmes des opprimés et personne pour les consoler ! » ( Ecclésiaste 3 et 4 )L’Ecclésiaste s’interroge sur l’origine de la méchanceté humaine, et nous propose un chemin de conversion : s’ouvrant à l’introspection, à la compassion, puis à la soif de l’Esprit de Dieu (et non « la poursuite du vent » comme dans certaines traductions).
« L’Éternel ton Dieu est au milieu de toi comme un héros qui sauve, il fait de toi sa plus grande joie » (Sophonie 3:17)Parfois, contre nos démons intérieur, il nous faut l’aide de plus que l’humain. Le prophète Sophonie nous assure de l’aide de l’Éternel, qui fait des prodiges.
Demande de traduction littérale du Psaume 139:16, notre vie et notre mort aurait-elles été déterminées par avance ?Un verset du Psaume 139 pourrait faire penser que toute notre vie et notre mort est déjà écrite par avance dans un livre, comme dans la pensée grecque, latine ou musulmane. On peut lire ce verset autrement, comme Dieu qui veille sur nous et garde la mémoire aimante de chacun de nos jours.
Jésus fils unique de Dieu, pourtant nous sommes enfants de Dieu nous aussi ? Pourquoi prier « au nom de Jésus », ou prier Jésus ?Une jeune femme intelligente et libre s’interroge sur la prière au Christ, ou au nom du Christ, ou les prières adressées au Seigneur, et sur le salut en Christ.
Toute personne qui tombe a des ailes…La poésie peut vraiment être d’un grand secours, un vers frappant peut nous revenir en tête au moment opportun, et nous donner la légère impulsion, une porte qui s’entrouvre, un début de force et de lumière… nous permettant de ne plus couler.