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Une publicité montre un des fameux mage de l’épiphanie préférer un abonnement à Canal + plutôt que Jésus. C’est bien entendu de l’humour, mais cela pose le fait qu’il n’y a rien de plus important dans notre vie que le Christ.
« Voici, les jours viennent, parole de l’Éternel, où j’accomplis la parole de bonheur que j’ai dite » (Jérémie 33:14)Dans ces mots, tout nous parle d’un processus en cours, , nous sommes dans un déjà-là et un pas-encore à la fois. C’est l’expérience qu’un amour nous fait vivre le meilleur qu’il y a à vivre sur terre, déjà. Cela n’efface pas tout le reste, mais cela existe véritablement, et nous sentons que là, maintenant, le bonheur existe de vivre en ce monde.
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (messages : juif, catholique, protestant, musulman, bahaï)Une célébration interreligieuse nous a réunis dans le temple de Cologny autour de ce thème « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », avec les communautés juives, chrétiennes catholique et protestante, musulmane , bahaïe). Dès lors que nous pensons qu’il y a un Dieu unique, toutes les prières convergent vers le même.
Corps (notre corps, le corps de Dieu, le corps du Christ)1) Notre corps humain Le corps est une partie de l’espace qui nous est propre : à l’intérieur : c’est nous et bien nous. à l’extérieur : le monde avec qui nous sommes plus ou moins en interaction. Le corps est en interaction avec le monde : par la peau et sa sensibilité, par nos […]
Ma foi suit son cheminement et j’ai envie aujourd’hui de me mettre à lire la Bible.Cette jeune femme avance dans sa foi, pas à pas, découvre la confiance en Dieu, la liberté de prier, d’avoir ses propres convictions entre diverses influences. Elle désire lire la Bible : quelques conseils pour commencer et pour tenir bon sur le long terme.
« Quel Dieu ! » 3/3 – Dieu qui évolue, qui vient ? (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)Il faut attendre le 4e concile de Latran (1215) pour attribuer à Dieu des qualités d’immuabilité, d’atemporalité. Pour beaucoup, cela semble indispensable à l’idée que l’on se fait de la perfection de Dieu. Est-ce biblique ? Ou est-ce que cela est inspiré par certaines philosophies grecques non bibliques ? Enquête dans la Bible et sur les conséquences sur notre vie et notre foi.
« Un souvenir de bonté » (Luc 1:41-56 – Le Magnificat de Marie)Dans les évangiles selon Luc et Jean, Marie est la figure du croyant, nous sommes appelés à nous reconnaître en elle. Le salut qu’elle chante c’est de participer à l’œuvre de salut que Dieu fait dans le monde. Elle explique comment.
« Quel Dieu ! » 2/3 – Dieu qui massacre et envoie en enfer ? (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)Que faire de ces textes de la Bible redoutables, inquiétants, parfois exploités, hélas, dans une « pastorale de la peur » ? Bien d’autres interprétations de ces textes terribles sont possibles. Je vous en propose au moins cinq. C’est notre prière, notre vision du bien et du mal, notre façon d’agir en ce monde qui sont influencées par notre théologie (heureusement)
« Quel Dieu ! » 1/3 – Dieu créateur, libérateur, sauveur (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)C’est un éventail de conceptions de Dieu qui nous est proposé par la Bible. Cela peut nourrir notre théologie (notre idée de Dieu), notre prière (ce que nous attendons de Lui), notre philosophie (notre idéal), et notre éthique (une manière de vivre bien).
Un cycle de découverte de la Bible, à travers l’Ancien et le Nouveau TestamentsDans la suite des conférences bibliques et des ateliers que j’ai données ces dernières années, je vous propose cet automne un cycle de découverte de la Bible. Thème : Quel Dieu ! à travers l’Ancien et le Nouveau Testaments : 1/3 : Dieu créateur, libérateur, sauveur. 2/3 : Dieu qui massacre et envoie en enfer ? 3/3 […]
« Tu ne tueras pas » (Exode 20:13 ou Deutéronome 5:17)Ce commandement « Tu ne tueras pas » est un résumé de toute la Bible. Non seulement de ne pas tuer l’innocent, mais de ne pas tuer, tout court. Jésus l’étend à « tu aimeras ton prochain comme toi-même », appelant à ne pas laisser dépérir la vie de notre prochain ni notre propre vie.
Quand on me parle de guerre divine où la destruction d’un peuple est la volonté de Dieu, cela ne me convient guère. Quelle piste d’interprétation ? Je lis en ce moment Ésaïe.Il y a certes des combats dans la Bible comme dans notre monde. Dieu est toujours du côté de la vie, il ne massacre personne, mais tout ce qui est méchant en nous, ce qui nous rend captif et nous fait souffrir, nous et ceux qui nous entourent.