Archives

Quelle genre de personne veut-on devenir ? La Bible nous propose d’être à l’image de Dieu, nous le sommes par l’Esprit.
Est-ce que la théologie, avec ses chicanes, ne finit pas par désespérer le croyant ?
La théologie, nous dit Paul, doit être par l’amour et pour l’amour. Alors elle est un véritable facteur de développement de la personne et de sa foi.
Que veux-tu faire quand tu seras grand ? Quel genre de personne veux-tu être ?
Épictète aurait proposé cette méthode : « Commence par te demander quel genre d’homme tu veux être, après quoi, exerce-toi à agir selon ce modèle. » Le Christ nous inspire pour la première étape, quand à la seconde, elle se travaille dans la prière et dans le service.
Perspective : « Tout est permis, mais tout n’est pas utile … » (pasteure Elisabeth Schenker)
D’où nous viennent ces jugements que l’on porte sur ce qu’il est permis de faire ou pas, quels en sont nos critères ?
« Quel homme, quelle femme ! » à travers la Bible 1/3 – L’humain : ce héros aux pieds d’argile
Cycle « Quel homme ! Quelle femme ! » à travers la Bible. Voir l’introduction et les différentes séances ici. Dans ce cycle, nous nous penchons sur la conception de l’humain, homme et femme, qui est proposée par la Bible (anthropologie). Séance N°1/3 du mardi 4 mars 2025 – Vidéo : Podcast audio de la […]
« La foi, c’est l’assurance des choses qu’on espère, la démonstration des réalités qu’on ne voit pas. » (Hébreux 11:1)
L’auteur anonyme de la lettre aux Hébreux nous propose ici une belle mais difficile définition de la foi. Elle nous encourage à chercher ce que nous espérons et s’appuyer dessus pour avancer. Elle nous conseille de chercher ce qui est au-delà du visible et pourtant bien réel, et de le prendre en compte. En ce sens, même un athée peut « avoir la foi ».
Je suis accablé de malheurs : comment vivre ? (Épicure – Jean 9 – Luc 11 – Matthieu 5 – 1 Corinthiens 7)
Le philosophe Épicure proposais de soigner son âme afin d’être résilient. Face au malheur il propose un quadruple médicament, son tetrapharmakos. Cherchons quel serait une pharmacopée inspirée de la foi du Christ, à travers quatre textes.
De la nature des choses (Prière de Lucrèce, poète et philosophe latin)
Cette prière n’est pas chrétienne, elle est de Lucrèce, poète et philosophe latin du Ier siècle avant Jésus-Christ et disciple d’Épicure. Il n’y aurait pas grand chose pour transformer ce texte en prière au Créateur, ou un hymne au Christ. Cela peut nous aider à comprendre comment la foi chrétienne a trouvé un si prodigieux écho dans la société greco-latine.
1/2 – « C’est dans le vide de la pensée que s’inscrit le mal. » (Hannah Arendt & Matthieu 13:3-23)
Hannah Arendt souligne un problème qui nous menace en tant que personnes, qui menace nos enfants, et qui menace l’humanité : ce problème est tout simple, tout banal : c’est l’absence de réflexion personnelle. Quand ses apôtres se plaignent que Jésus parle par énigme, Jésus répond que c’est délibéré, afin de guérir les consciences en sommeil. Cela nous donnes des pistes pour nous et pour notre église.
Corps (notre corps, le corps de Dieu, le corps du Christ)
1) Notre corps humain Le corps est une partie de l’espace qui nous est propre : à l’intérieur : c’est nous et bien nous. à l’extérieur : le monde avec qui nous sommes plus ou moins en interaction. Le corps est en interaction avec le monde : par la peau et sa sensibilité, par nos […]
« Quel Dieu ! » 3/3 – Dieu qui évolue, qui vient ? (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)
Il faut attendre le 4e concile de Latran (1215) pour attribuer à Dieu des qualités d’immuabilité, d’atemporalité. Pour beaucoup, cela semble indispensable à l’idée que l’on se fait de la perfection de Dieu. Est-ce biblique ? Ou est-ce que cela est inspiré par certaines philosophies grecques non bibliques ? Enquête dans la Bible et sur les conséquences sur notre vie et notre foi.
« Quel Dieu ! » 2/3 – Dieu qui massacre et envoie en enfer ? (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)
Que faire de ces textes de la Bible redoutables, inquiétants, parfois exploités, hélas, dans une « pastorale de la peur » ? Bien d’autres interprétations de ces textes terribles sont possibles. Je vous en propose au moins cinq. C’est notre prière, notre vision du bien et du mal, notre façon d’agir en ce monde qui sont influencées par notre théologie (heureusement)