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Des mots de la Bible, à la louange, puis à la vocation de diffuser cette joie dans une humanité triste et désabusée.
Réenchanter nos vies, réenchanter le monde ? Une piste. (Ésaïe 40)Notre jeunesse serait découragée, les populations de nos pays occidentaux seraient désespérées, en manque d’un souffle qui les porte. Je vous propose de relire dans le livre d’Ésaïe le chapitre 40 « Consolez, consolez mon peuple » : une vocation que Dieu nous adresse ?
Esprit de joie, que de fois je t’ai retrouvé au détour de l’imprévu… (Frère Michel Hubaut)Un regard sur notre vie qui se travaille dans l’observation, la sagesse et la prière, avec l’aide de l’Esprit
« Heureux ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui l’observent. » (Luc 11:28)Écouter la parole de Dieu, c’est s’ouvrir à ce qu’il nous propose pour que nous puissions évoluer favorablement. L’observer c’est ensuite en faire quelque chose. Entre l’écoute et la concrétisation, nous avons une liberté de discernement.
Comme il est bon, Père, de laisser, le soir, mon corps et mon cœur se détendre en ta présence… (Père Emmanuel)Se placer devant Dieu le soir est un acte de liberté. Cela nourrit notre cheminement, nous laisse construire par Dieu, lui permettre d’approfondir notre paix, d’éclairer notre lucidité, affiner notre discernement.
Nos « charismes », cadeaux de Dieu à découvrir (Luc 10:25-42)Le premier de tous les charismes : c’est d’être nous et d’être vivants. Ensuite chacun a des charismes particuliers. Par définition : un charisme est un don gratuit de Dieu. Nous ne sommes donc pas obligés d’en faire quelque chose. Mais c’est une source de joie de porter du fruit, et d’avoir fait un peu de bien, par grâce.
« L’Éternel fait de toi sa plus grande joie » (Sophonie 3:17)Selon Sophonie, Dieu aurait une grande joie de nous voir exister. Pourquoi ? Parce qu’il nous aime, et pourquoi nous aime-t-il ? C’est comme l’amitié dont parle Michel de Montaigne : parce que c’est lui, parce que c’est nous. C’est comme ça.
« Nous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé ! » (Jérémie 32:1-15 ; Matthieu 11:7-19) ou « Espérer contre toute espérance » (Romains 4:18)
L’espérance chrétienne est une espérance contre toute espérance. Elle est une espérance à temps et peut-être surtout à contre-temps, elle est une belle espérance, au milieu des larmes.
« L’Éternel ton Dieu est au milieu de toi comme un héros qui sauve, il fait de toi sa plus grande joie » (Sophonie 3:17)Parfois, contre nos démons intérieur, il nous faut l’aide de plus que l’humain. Le prophète Sophonie nous assure de l’aide de l’Éternel, qui fait des prodiges.
« Toute la nuit, j’ai cherché celui que mon cœur aime. » (Cantique des cantiques 3:1)Dieu est un être de désir, et il nous a créé par désir que nous existions. Nous sommes à son image. Il serait dommage d’être honteux de désirer, il y a des façons chaotique ou frénétique de désirer, nous pouvons alors nous tourner vers Dieu pour qu’il nous aide à harmoniser nos désirs.
« Ne vous enivrez pas de vin… mais cherchez la plénitude par l’Esprit » (Éphésiens 5:18)Cette alternative entre l’ivresse de vin et la plénitude par l’Esprit était déjà fort amusante dans le récit de la Pentecôte : après la disparition de Jésus, ses disciples sont fortement désemparés et apeurés par la répression contre la foi du Christ. C’est un fait historique que ces disciples vont être pris d’un enthousiasme tel […]
Une histoire de vigne, d’amour, et de joie parfaite (Jean 15:1-17 – Paraboles de Jésus selon Jean 2/2)Dans ce texte, Jésus cherche à transmettre l’essentiel à ses disciples afin de les préparer à prendre le relai après sa disparition. Il présente cet essentiel sous deux formes : une parabole et un enseignement, les deux s’éclairant mutuellement. Il éclaire sur ce que nous pouvons attendre de Dieu, ce que signifie « aimer » dans l’Evangile, et les fruits que nous pouvons attendre.