Confession de foi
« Je confesse et j’attends » : quel mot d’ordre et quel programme ! (Georges Marchal)
Une très ancienne liturgie chrétienne se termine par ces mots immenses :
« je confesse et j’attends ! »
« je confesse et j’attends ! »
Quel mot d’ordre et quel programme !
Oui: je confesse la justice, j’affirme l’amour, les heures réparatrices, les éternelles promesses.
Et, sans agitation fiévreuse, pour moi-même et pour ceux qui viendront après moi, j’attends. J’attends Dieu. Le Dieu qui vient, le Dieu qui sauve.
Irréductible dans mes certitudes, je les proclamerai à la face de la haine, à la face de la mort.
L’attente est la forme active de l’espérance.
Georges Marchal
N’hésitez pas à proposer un beau texte de foi qui vous aurait inspiré.
Articles récents de la même catégorie
- Je crois que Dieu peut et veut faire naître le bien (Dietrich Bonhoeffer)
- Qui est Dieu pour moi ? Dieu, mon ADoNaï, est Celui qui m’offre la possibilité…
- Je place ma confiance en Dieu (confession de foi personnelle de la pasteure Sandrine Landeau)
Articles récents avec des étiquettes similaires
- Au cours de mes recherches, j’ai découvert votre site par hasard en interrogeant le moteur de recherche
- « Éternel, il est bon d’annoncer dès le matin ta bonté, et ta fidélité pendant les nuits. » (Psaume 92:3)
- J’ai été pris de vertige en constatant dans le détail le Prodige de la Création, j’ai découvert la force et la puissance du dévouement incarnée dans le soin