Le « Crédo » ou « Symbole des apôtres » 1/4 : Je crois en Dieu ?
Pour ce cycle de quatre ateliers de théologie au chalet paroissial de Vandœuvres (bienvenue), j’ai préparé ces quelques notes comme base à nos débats, afin que chaque participant puisse poursuivre sa démarche de réflexion et de foi (éventuellement) en toute liberté et sincérité.
- Vous lisez actuellement le premier document, sur le contexte de rédaction de ce texte appelé « Crédo » ou « Symbole des apôtres ».
- Voir le deuxième document document sur la partie « Je crois en Jésus-Christ ? »
- Voici le troisième document portant sur « Je crois en l’Esprit-Saint ? »
- Voir le quatrième document sur « Je crois la sainte Église ?? »
Le texte actuel
Je crois en Dieu,
le Père tout puissant,
créateur du ciel et de la terre.
Je crois en Jésus-Christ,
son fils unique, notre Seigneur,
qui a été conçu du Saint-Esprit
et qui est né de la vierge Marie.
Il a souffert sous Ponce Pilate,
il a été crucifié, il est mort,
il a été enseveli, il est descendu aux enfers.
Le troisième jour, il est ressuscité des morts,
il est monté au ciel,
il siège à la droite de Dieu, le Père tout puissant,
il viendra de là pour juger les vivants et les morts.
Je crois en l’Esprit-Saint.
Je crois la Sainte Église universelle, [l’église romaine dit « catholique », ce qui signifie « universel » en grec]
la communion des saints,
la rémission des péchés,
la résurrection de la chair
et la vie éternelle.
Amen.
Introduction
Ce texte est assez redoutable. Il est parfois présenté comme essentiel pour les chrétiens, alors qu’il est difficilement accessible aux oreilles et aux cœurs de l’honnête citoyen de notre siècle, et que nous aurions probablement mis tout autre chose dans la corbeille des points essentiels de la foi du Christ selon nous ?
Pourtant, ne serait-ce que comme une pièce de patrimoine historique ayant participé à forger la conscience de l’humanité, et ne serait-ce que par respect pour les chrétiens qui se fondent sur ce texte, nous pouvons essayer de chercher ensemble à réfléchir et débattre à partir de ce texte, avant de voir ce que nous pourrions en tirer, ou non, à titre personnel.
Contexte de rédaction
Les foules qui écoutaient Jésus, les personnes qui deviennent ses disciples et même ses apôtres étaient très divers, certains n’étaient même pas monothéistes (comme un centurion Romain), ou ne reconnaissaient que les cinq premiers livres de la Bible (comme la Samaritaine)… Cela ne dérangeait pas Jésus, au contraire. Il n’a pas écrit de catéchisme, il n’a pas réellement développé de doctrine construite sur Dieu, ni sur sa personne, ni sur ce qu’il entend accomplir. Jésus a plutôt témoigné de sa foi : de sa confiance radicale en Dieu, et de sa passion (si je puis dire), pour l’humain quel qu’il soit. À sa disparition, les disciples cherchent à vivre et à communiquer cette façon d’avoir la foi, ou plutôt ce qui les a bouleversé dans ce qu’a dit et ce qu’a fait Jésus, cet homme qu’ils ont suivi et qu’ils reconnaissent comme « Christ ». Ils appellent cela l’Évangile, LA Bonne Nouvelle, car tous ces disciples s’entendent pour dire que Jésus est la meilleure de toutes les nouvelles jamais reçues quiconque. Ensuite, chaque disciple exprime à sa façon ce qu’il entend par cette « nouvelle », dans la liberté. Avec des styles et des théologies assez différentes pour rendre compte de l’unique Évangile du Christ qui les a fait vivre, personnellement. Dans l’esprit de la Bible hébraïque la transmission se fait d’abord plus par le récit et dans le pluralisme des interprétations : c’est ce que vont offrir au monde les quatre évangiles. Le monde de pensée grecque aime, en complément, un enseignement construit comme le donnent les philosophes. la foi chrétienne se rependant très rapidement dans les milieux juifs mais aussi non juifs de l’empire romain, cela va inciter les chrétiens à élaborer une pensée complexe et raffinée pour dire leur foi en Christ. C’est ce que feront très tôt Paul d’abord, puis Jean, et bien d’autres.
Partant de la foi en Dieu (une relation confiante et une recherche de Dieu), on en vient à avoir un enseignement sur ce que l’on entend par « Dieu », ce qu’apporte Jésus-Christ, quelle espérance de salut. Au delà de la foi, il s’agit du contenu de la foi, ce qui s’avère utile pour notre développement personnel, et indispensable pour témoigner dans le monde, puis pour enseigner les candidats au baptême et les membres de la famille de personne chrétiennes.
Nous avons encore un manuel datant de la fin du Ier siècle qui était en usage dans les églises pour cela : la Didachè « Doctrine du Seigneur transmise aux nations par les douze apôtres ». Ce manuel enseigne très simplement à suivre ce qu’il appelle « le chemin de la vie : « premièrement, tu aimeras Dieu qui t’a créé ; en second lieu, tu aimeras ton prochain comme toi-même ; et ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait, toi non plus ne le fais pas à autrui. » (1:2). Il s’agit là d’une reprise de l’enseignement fondamental de Jésus en Marc 12:29-31, c’est une invitation à la relation de qualité, une invitation à la foi et au souci de l’autre, que le texte développe ensuite avec des citation des évangiles.
Cet enseignement de base apporté aux catéchumènes va être progressivement développé, en parallèle avec une élaboration de la pensée chrétienne, par divers courants et sensibilités chrétiennes, dans diverses grandes églises des premiers siècles.
Vers le milieu du IIIe siècle, apparaît dans les églises la volonté d’avoir une église plus homogène dans leurs croyances. En effet, les doctrines deviennent de plus en plus élaborées, elles le sont souvent avec une grande passion de la part des théologiens et des fidèles (d’autant plus que leur foi les fait vivre). Certaines personnes désirent écarter de leur communauté des personnes de sensibilités qui leur apparaissent comme trop différentes. Il n’est alors pas (encore) dans l’idée d’interdire aux autres d’être chrétiens à leur façon, mais de s’assembler entre personnes de sensibilités proches. Pour faire cela, des églises composent ce qu’elles appelleront un « symbole » en référence à l’usage romain du « symbolum » qui était un morceau de bois coupé en deux dont on donnait une moitié à chaque émissaire afin qu’ils puissent vérifier leur identité en joignant les deux pièces. C’était comme un mot de passe infalsifiable. Dans l’église, le « symbole » est un ensemble de points de doctrines jugées sensibles, qu’une personne candidates au baptême ou désirant entrer dans l’église locale devait confesser publiquement pour être acceptée. La personne devait donc dire publiquement « Je crois … » pour chacun des points du « symbole », d’où le nom de « Credo » et de « symbole ».
Au IVe siècles des « conciles » (réunion des chefs des principales églises), définissent des « symboles » pour définir une église majoritaire d’empire, écartant les « hérétiques » (par définition, ceux qui ne sont pas dans la ligne majoritaire), les considérant alors comme de mauvais chrétiens, voire de non-chrétiens. C’est un changement de paradigme important, une révolution copernicienne. La définition de ce qu’est être chrétien n’est plus la seule référence à un centre (la personne de Jésus que l’on confesse comme Christ, comme Sauveur), la définition de ce qu’est être chrétien prend la forme d’une frontière de croyances (et de comportement).
Le terme de « symbole des apôtres » apparaît pour la première fois dans une lettre d’Ambroise de Milan en 390, pour parler d’une première liste de points de doctrine. C’est une façon habituelle à l’époque de donner du crédit à un texte que de le dédier à telle ou telle grande figure. Ce « symbole » a été rangé sous l’autorité des apôtres de Jésus, comme s’il était composé par les « douze », chacun participant par une phrase. Effectivement, ce texte n’est pas sans rapport avec des passages de la Bible, mais historiquement, en tant que texte constitué ce texte n’a pas existé avant le IIIe siècle. Les apôtres ne l’ont donc pas connu, il s’en faut même d’une demi-douzaine de générations, au moins. Ce texte va continuer à être développé, amendé et complété jusqu’au VIIème siècle avant d’arriver à la version définitive du texte tel que nous connaissons.
Ce « symbole des apôtres » fait donc référence aux points les plus délicats de la théologie des IVe-VIIe siècles, une personne qui accepte de confesser publiquement tous ces points peut ainsi prouver qu’elle n’est pas une hérétique.
Cela explique pourquoi ce qui faisait consensus entre tous les chrétiens n’apparaît pas dans ce texte. Sont but n’est pas de dire l’essentiel mais de baliser une frontière entre l’intérieur (les fidèles) et l’extérieur de l’église (les hérétiques, les païens et les athées). Le « Symbole des apôtres » ne parle donc pas du cœur de l’Évangile (pour cela il y a les quatre évangiles) : le symbole ne parle pas de la grâce de Dieu, ni de foi, ni d’aimer de Dieu ni d’aimer notre prochain, ce texte passe directement de la conception miraculeuse de Jésus à sa mort, sans un mot de ce qu’il a dit et fait entre les deux : c’est parce que tout le monde était d’accord sur ce s points qui font le cœur de la foi chrétienne.
Le « credo » : quelques qualités remarquables
D’abord, il fait partie de notre héritage très ancien, même si on ne le sacralise pas pour autant, l’humanité progresse en relisant ce qu’elle reçoit des générations passées, en gardant le meilleur, en le retravaillant, le complétant, l’améliorant, le traduisant.
Ensuite, ce texte est encore dit avec conviction, et parfois avec ferveur, par l’églises catholique et bien des églises protestantes. Plusieurs églises l’utilisent encore lors d’un baptême d’adulte, sous forme interrogative : « croyez-vous en Dieu… ? » au quel le candidat répond par « je crois ». Ce texte reste un trait de communion entre chrétiens ce qui est particulièrement utile en diverses occasions ou cérémonies œcuméniques, même si les églises orthodoxes et certaines églises protestantes ne reconnaissent pas ce texte comme faisant autorité.
Certaines personnes continuent à en faire une sorte de critère pour juger si leur prochain serait ou non un « bon chrétien ». Cette attitude est révélatrice de l’état d’esprit de ces personnes, cela ne dit rien de l’intérêt du « Crédo ». Le Christ, lui, se refusait pour lui-même ce droit de juger, il dit : « je suis venu, non pour juger le monde, mais pour sauver le monde. » (Jean 12:47).
Je crois
Ce texte commence par « Je crois », il s’exprime ainsi à la première personne : cela nous invite à une démarche personnelle. Même si l’on n’est pas d’accord avec tel ou tel point de la suite, au moins ce « je crois… » invite à croire en quelque chose. À le chercher, à l’élaborer, à le vivre. Et aussi à en témoigner ce qui est un geste de fraternité avec la personne avec qui on désire ainsi dévoiler ce qui nous anime personnellement. Si c’est dans une intention amicale cela invite à la discussion. On n’est pas obligé de garder l’optique du « symbolum », faisant de notre pensée le critère du seul fréquentable, du seul vrai, du seul légitime !
Je crois en Dieu
Ce que l’on entend par Dieu est très variable d’une personne à l’autre, que l’on soit croyant ou athée (a quel dieu pense-t-il quand il dit qu’il n’y croit pas) : c’est le sujet de cette immense branche de la philosophie qu’est la théologie. C’est une façon de chercher ce qui est pour nous la visée ultime, le juste ultime.
Dire « Je crois en Dieu » c’est déjà reconnaître qu’il existe de la transcendance, quelque chose qui est au dessus de nous (au dessus, dans un certain sens). Cela implique que l’humain n’est pas la finalité de tout, et qu’il aurait à répondre. Cela donne une certaine façon d’être et de vivre, de se comporter « sous le ciel »(Ecclésiaste 3).
Ce « Dieu » avec une majuscule évoque cette transcendance comme une personne, pas seulement comme la vie, ou pas seulement ce qui bourgeonne au printemps, pas seulement ce qui nous anime au fond de nous-même. Penser Dieu comme une personne invite à une certaine relation de personne à personne avec elle : cela prépare une possibilité de foi et de prière, d’écoute mutuelle, et de réponse, donc d’évolution.
Je crois en Dieu, le Père
Cet article pourrait être contesté par un croyant particulièrement attaché à la transcendance divine radicale. Car dire que Dieu est notre Père (et Mère) : cela affirme que nous tenons de lui, que nous avons certaines caractéristiques divines (ce qui ne fait pas de nous des dieux pour autant, bien sûr). C’est ce qu’affirment les deux récits de créations qui se succèdent dans la Genèse. Le premier raconte : « Dieu dit : Faisons l’humain à notre image, selon notre ressemblance… » (Genèse 1:26), Dieu proposerait ainsi à l’humain de le créer à la fois comme à l’image de Dieu, ayant donc un certain pouvoir créateur, tout en restant humain : à la fois enfant de Dieu et enfant de l’humain, enfant de la terre. Le second récit de création dit : « L’Éternel Dieu forma l’humain de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’humain devint un être vivant. » (Genèse 2:7) L’Évangile selon Jean reprend cela tout particulièrement dans son prologue : « (la Parole de Dieu, sa lumière) a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’humain, mais de Dieu. » (Jean 1:12-13) Paul, lui parle de Dieu qui nous adopte et que nous appelons « papa »(Romains 8:15).
Que Dieu soit Père et Mère, plutôt que grand roi ou Seigneur, cela dit une certaine conception des rapports entre Dieu et nous. Un roi a droit de vie et de mort sur ses sujets, arbitrairement, ou sur décision de « justice ». Alors que, normalement, un père ou une mère ne rompt pas cet attachement même quand son enfant n’est pas en forme ou pas performant. Cela laisse supposer quelque chose de la grâce de Dieu. Et de notre responsabilité en ce monde : le fils du charpentier ou la fille du marchand de tapis avaient pour vocation de travailler dans l’entreprise de son Père, et d’en hériter avec Christ (Romains 8:17), de devenir patron à notre tour. C’est le « que ta volonté soit faites » de la prière de Jésus, demande qui nous engage.
Jésus n’invente pas cette paternité et maternité de Dieu, elle était déjà un petit peu présente dans la Bible Hébraïque. Jésus la développe de façon importante. Il appelle Dieu « mon Père », se disant ainsi « Fils de Dieu », et en même temps il en parle comme « mon Père et votre Père », faisant de nous ses frères et sœurs à lui, le Christ, et des enfants de Dieu aussi, comme lui. Dans sa prière, les premiers mots disent en condensé sa théologie : « Notre Père qui est aux cieux » : 1) Père : nous lui ressemblons , 2) mais lui est au ciel, infiniment supérieur à nous sur terre, 3) il n’est pas seulement mon petit papa à moi (il l’est aussi), il est le père des autres aussi.
Je crois en Dieu, le Père tout puissant
Le fantasme de toute-puissance de l’humain est une maladie universelle. C’est le premier risque de cette notion de « toute-puissance » de Dieu. En pensant comme tout-puissant un Dieu qui nous est proche et bienveillant : cela pourrait nous faire espérer que notre prière soit une sorte de télécommande permettant d’exaucer nos vœux les plus chers. C’est un risque psychologique pour la personne, cela présente aussi un grand risque de déception : des personnes perdant alors souvent la foi en Dieu précisément au moment où elles vivent un drame injuste et cruel.
Cette notion de « toute-puissance de Dieu » est très rare dans la Bible, en réalité. Au contraire, bien des récits bibliques montrent Dieu être surpris par ce qui arrive, on le voit être déçu dans ses projets, changer d’avis. Cela est nettement plus réaliste que d’imaginer un Dieu qui pourrait faire tout, n’importe quoi et son contraire : faire qu’un bâton de bois puisse avoir un seul bout, laisse souffrir et mourir un enfant de cancer s’il pouvait le sauver. Bien des croyant s et des lecteurs de la Bible disent que Dieu serait seulement infiniment (mais pas tout) puissant.
En fait, dans le Crédo, il n’est pas dit « Dieu tout puissant », en réalité. il est dit « Père tout-puissant » ou « tout puissant créateur », selon la place de la virgule (qui est indécise).
Que Dieu soit tout-puissant comme père, cela pourrait être compris : si Dieu a décidé de nous considérer comme son enfant, ne serait-ce qu’en nous adoptant : c’est son droit souverain, effectivement. Cela dit que la bonté et l’amour sont des réalités puissantes qui finiront par triompher.
Que Dieu soit tout-puissant comme créateur, cela pourrait être compris : avec une confiance qu’en définitive, après un certain temps (voire à la fin des temps, à l’horizon de l’histoire) les bons projets de Dieu se réaliseront.
Ce « tout-puissant » peut aussi être compris non pas comme disant que Dieu pourrait tout faire, mais que tout concerne Dieu comme Père et comme créateur : qu’il n’est indifférent à rien, à aucune situation, qu’il y pense, si je puis dire, qu’il ne lâche rien, qu’il a de l’espérance et une certaine forme d’intervention (à son rythme, sa façon).
Je crois en Dieu créateur du ciel et de la terre
Que Dieu soit créateur est discutable sur le plan scientifique. Mais cela peut aussi être considéré comme l’hypothèse la plus plausible, la plus raisonnable. Car toute organisation, toute évolution laisse supposer une source d’information et de mise en mouvement du processus. Ce n’est pas une preuve, seulement un indice très important.
Il est possible aussi de prendre cette affirmation « Dieu créateur » comme une définition appelant « Dieu » ce qui est créateur dans notre existence. C’est fort intéressant car c’est inspirant pour nous comme étant appelé à créer (plutpot que de détruire ou de ne rien faire). Et là-dessus nous pouvons entrer en dialogue avec des athées ou des agnostiques en nous demandant chacun selon sa sensibilité et son langage : qu’est-ce qui, au fond, me fait avancer, qu’est-ce qui fait que la vie vaut plus que la simple survie ? Qu’est-ce qui fait source de vie « en abondance » et de qualité d’être et de vie pour moi ? Qu’est-ce qui fait qu’il y a quelque chose plutôt que le chaos ou que le néant ? C’est la question essentielle de la philosophie également. Appeler « Dieu » ce que l’on discerne comme réponse à ces interrogations est discutable, certes (car ce mot « dieu » est plein de pré-compréhensions trompeuses), mais appeler cela « dieu », ou même « Dieu » permet d’entrer en débat avec cent mil ans de recherche humaine en ce domaine.
« Ciel et terre » : c’est, selon le vocabulaire biblique souvent imagé, le domaine spirituel et le domaine matériel. L’idée est que la réalité de ce monde et de notre existence n’est pas seulement faite de particules et d’énergie, qu’il y a une dimension fondamentale qui est de l’ordre de l’invisible, de l’ordre du sens, du spirituel. Que cela est indispensable à prendre en compte pour penser et pour agir. Que Dieu en est la source et en prend soin.
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