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Se consacrer à Dieu c’est choisir de se centrer sur cette source, ce n’est pas nécessairement abandonner les siens, ni sacrifier sa vie, ni changer de travail pour devenir religieux. Se consacrer à Dieu change notre rapport à notre vie et à nous-même. Ensuite, tout dépend de que que l’Esprit nous soufflera.

Le principe de base de l’interprétation est que, dans un texte comme celui-ci, tout nous parle de nous : chaque élément, chaque personnage, chaque force apparaissant dans ce récit sont faits pour vous parler de vous. Nous sommes Marie, nous sommes l’enfant Jésus, Nous sommes les bergers que visitent les anges et même la gloire de Dieu.

Le premier de tous les charismes : c’est d’être nous et d’être vivants. Ensuite chacun a des charismes particuliers. Par définition : un charisme est un don gratuit de Dieu. Nous ne sommes donc pas obligés d’en faire quelque chose. Mais c’est une source de joie de porter du fruit, et d’avoir fait un peu de bien, par grâce.

La première des grâces qui nous est faite est d’être nous, d’être vivant. Il n’y a rien à faire pour cela, c’est comme un héritage. Quand cette vie peut « déborder » alentour, nous sommes alors source de vie, à notre mesure. Tout naturellement, sans que cela soit commandé, comme un pommier donne des pommes. C’est alors aussi une grâce et c’est une joie.

Dieu est ce semeur. Le Christ est ce semeur. Et nous sommes ce semeur. Notre nature est de semer et la semence : c’est nous-mêmes que nous semons dans le monde quand nous sortons de notre coquille. La moisson dépasse notre espérance.

Il faut attendre le 4e concile de Latran (1215) pour attribuer à Dieu des qualités d’immuabilité, d’atemporalité. Pour beaucoup, cela semble indispensable à l’idée que l’on se fait de la perfection de Dieu. Est-ce biblique ? Ou est-ce que cela est inspiré par certaines philosophies grecques non bibliques ? Enquête dans la Bible et sur les conséquences sur notre vie et notre foi.

Ce commandement « Tu ne tueras pas » est un résumé de toute la Bible. Non seulement de ne pas tuer l’innocent, mais de ne pas tuer, tout court. Jésus l’étend à « tu aimeras ton prochain comme toi-même », appelant à ne pas laisser dépérir la vie de notre prochain ni notre propre vie.

Être chrétien c’est s’intéresser de façon déterminante à Jésus-Christ. Ce n’est pas entrer dans un système de doctrine obligatoires, de morale ou de rites imposés. C’est bien plus libre que cela. C’est prendre en main son propre cheminement, inspiré par Jésus-Christ, dans la confiance en Dieu.

Parfois, contre nos démons intérieur, il nous faut l’aide de plus que l’humain. Le prophète Sophonie nous assure de l’aide de l’Éternel, qui fait des prodiges.

Une bonne traduction de la Bible avec de bonnes notes techniques est un outil précieux. Concernant l’euthanasie, les implications sur les autres et sur la société sont plus importantes qu’il peut sembler, et méritent que l’on y fasse attention.

Dieu est un être de désir, et il nous a créé par désir que nous existions. Nous sommes à son image. Il serait dommage d’être honteux de désirer, il y a des façons chaotique ou frénétique de désirer, nous pouvons alors nous tourner vers Dieu pour qu’il nous aide à harmoniser nos désirs.

Hier, au culte, un homme a demandé à recevoir le baptême. Il explique son parcours : une expérience vive de foi, l’émerveillement au cours de ses études de médecine devant la création, la puissance de la compassion dans le soin…