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L’événement du salut, c’est la naissance d’un enfant. Un enfant est réel et n’est pas encore réel. Il est dans l’histoire, sans encore être historique. Sa nature est visible et invisible. Il est là et il n’est pas encore là. Telle est exactement la caractéristique du salut.
La liberté, pour quoi faire ? par le professeur Bernard RordorfLa liberté et l’amour : l’une ne va pas sans l’autre. On ne peut aimer que librement ou, plus précisément, il faut être libre pour pouvoir aimer. Et inversement, la plus grande liberté se réalise dans l’amour, car on ne peut pas être libre davantage qu’en aimant.
« Plus précieux que l’or fin, plus doux que le miel qui coule du rayon. » (Psaume 19:11)La douceur de Dieu, de son action, de ses conseils, de son regard. Cela contraste avec tout ce qui a chargé notre idée de Dieu, d’un Dieu terrible ou d’un Dieu lointain, que l’on craint ou que l’on préfère oublier. Sa douceur élève notre âme.
Corps (notre corps, le corps de Dieu, le corps du Christ)1) Notre corps humain Le corps est une partie de l’espace qui nous est propre : à l’intérieur : c’est nous et bien nous. à l’extérieur : le monde avec qui nous sommes plus ou moins en interaction. Le corps est en interaction avec le monde : par la peau et sa sensibilité, par nos […]
L’intérêt d’avoir une vraie relation authentique d’amour avec le Seigneur, faut-il privilégier d’avoir avec lui une relation de cœur plutôt que de raison ?Le sentiment religieux, l’émotion de notre amour pour Dieu est important. Tout miser là dessus serait dangereux, incomplet. Le « Shema » juif prend en compte 3 dimensions de notre être pour aimer Dieu. Jésus les reprend et ajoute la réflexion personnelle.
« Quel Dieu ! » 3/3 – Dieu qui évolue, qui vient ? (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)Il faut attendre le 4e concile de Latran (1215) pour attribuer à Dieu des qualités d’immuabilité, d’atemporalité. Pour beaucoup, cela semble indispensable à l’idée que l’on se fait de la perfection de Dieu. Est-ce biblique ? Ou est-ce que cela est inspiré par certaines philosophies grecques non bibliques ? Enquête dans la Bible et sur les conséquences sur notre vie et notre foi.
« Quel Dieu ! » 2/3 – Dieu qui massacre et envoie en enfer ? (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)Que faire de ces textes de la Bible redoutables, inquiétants, parfois exploités, hélas, dans une « pastorale de la peur » ? Bien d’autres interprétations de ces textes terribles sont possibles. Je vous en propose au moins cinq. C’est notre prière, notre vision du bien et du mal, notre façon d’agir en ce monde qui sont influencées par notre théologie (heureusement)
Jésus priait Dieu comme « notre Père ». Je sens bien que je réfléchis trop, mais en tant que mère, cela m’embête que mon rôle soit si mal vu dans cette profonde prière …Il est vrai que la figure de Dieu comme « Père » est intéressante, même si elle pose un certain nombre de difficultés, voire de problèmes. Comment faire en sorte de bénéficier de cette extraordinaire prière du « Notre Père » en ce cas. Éléments de réflexion.
Dieu nous a donné le libre arbitre, pourquoi envoyer en enfer ceux qui n’auront pas donné leur vie à Christ ?Bien des fausses rumeurs présentent Dieu comme tout puissant, et assez pervers : je t’ai tout donné, à toit de tout me donner. L’Evangile dit l’inverse. Bien sûr que l’humanité est décevante, elle est aussi merveilleuse et Dieu ne perd pas espoir, et nous non plus.
« Quel Dieu ! » 1/3 – Dieu créateur, libérateur, sauveur (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)C’est un éventail de conceptions de Dieu qui nous est proposé par la Bible. Cela peut nourrir notre théologie (notre idée de Dieu), notre prière (ce que nous attendons de Lui), notre philosophie (notre idéal), et notre éthique (une manière de vivre bien).
Jésus fils unique de Dieu, pourtant nous sommes enfants de Dieu nous aussi ? Pourquoi prier « au nom de Jésus », ou prier Jésus ?Une jeune femme intelligente et libre s’interroge sur la prière au Christ, ou au nom du Christ, ou les prières adressées au Seigneur, et sur le salut en Christ.
C’est quoi un bon chrétien ?On n’est pas obligé de se laisser juger par les autres chrétiens. Et c’est utile de discuter seulement avec des personnes qui cherchent un vrai dialogue, avec la possibilité eux-mêmes d’évoluer.