18 décembre 2023

Un petit chien avec un chapeau de père Noël sur la tête - Photo de Rhaúl Velasquez Alva sur https://unsplash.com/fr/photos/chiot-blanc-a-poil-long-portant-un-chapeau-de-pere-noel-jCM48W7y6Y8
Actualité - opinion

Fêter Noël en famille ?

Un petit chien avec un chapeau de père Noël sur la tête - Photo de Rhaúl Velasquez Alva sur https://unsplash.com/fr/photos/chiot-blanc-a-poil-long-portant-un-chapeau-de-pere-noel-jCM48W7y6Y8

Introduction

La fête de Noël est un symbole : cette date du 25 décembre est approximativement celle de la nuit la plus courte de l’année (dans notre hémisphère nord), ensuite, la lumière et le jour vont revenir progressivement. C’est l’occasion d’une fête à peu près partout dans le monde (sauf à l’équateur où cette date ne change pas grand chose à la lumière du jour).

Dans l’antiquité, cette fête est devenue pour les chrétiens une belle occasion de fêter et remercier Dieu pour le Christ, et cette lumière qu’elle nous apporte. Ils ont, en ce sens, évangélisé la fête du solstice d’hiver.

Lors de nos fêtes de Noël, nous pouvons tout à fait choisir de nous contenter de faire la fête en famille, si on a la chance d’en avoir une, ou avec des amis. Cette joie est une bonne chose. Les cadeaux offerts et reçus, peu-être un bon repas partagé.

Dans bien des familles, on place au cœur de cette fête l’évocation de Jésus-Christ.

Que peut-on choisir de faire pour « évangéliser » ainsi notre fête de Noël ?

Une célébration ?

On peut aller à un culte ensemble, dans la plupart des villes et villages du monde (sauf hélas dans les pays où la foi chrétienne est persécutée), des chrétiens se réunissent, dans une paroisse catholique, orthodoxe ou protestante. Le 24 au soir et le 25 au matin : c’est une belle occasion.

Il est possible aussi de prendre un temps au cœur de la fête de famille pour évoquer le Christ. C’est une tradition très ancienne, surtout dans les familles protestantes (peut-être). Un des anciens (par exemple), ou une équipe parmi les jeunes, a préparé quelque chose. Il peut commencer en expliquant que c’est dans le respect de la foi ou de l’absence de foi de chaque personne, bien sûr, mais puisque c’est une fête de Noël, autant fêter Noël. Ce temps pourrait comprendre :

  • la lecture d’un extrait de l’évangile (celui qui lui « parle », ou un de ceux que je propose ci-dessous),
  • si possible quelques mots sur ce texte choisi pour se l’approprier,
  • si l’on veut : un chant ou deux (exemples ci-dessous avec un accompagnement)
  • éventuellement : la prière du « Notre Père « 
  • et une bénédiction

Mais il ne s’agit que d’une proposition, le mieux est de faire comme on pense en fonction des personnes présentes.

Lire une page de l’Évangile du Christ, par exemple, une de ces pages :

Cela n’a pas besoin d’être très long, au contraire.

Et si quelqu’un peut dire quelques mots pour expliquer ce qui est important pour lui dans ce texte, c’est génial.

Le récit de la naissance de Jésus (Évangile selon Luc 2:1-20)

En ce temps-là parut un édit de César Auguste, ordonnant un recensement de toute la terre. Ce premier recensement eut lieu pendant que Quirinius était gouverneur de Syrie. Tous allaient se faire inscrire, chacun dans sa ville. Joseph aussi monta de la Galilée, de la ville de Nazareth, pour se rendre en Judée, dans la ville de David, appelée Bethléhem, parce qu’il était de la maison et de la famille de David, afin de se faire inscrire avec Marie, sa fiancée, qui était enceinte.

Pendant qu’ils étaient là, le temps où Marie devait accoucher arriva, et elle enfanta son fils premier-né. Elle l’emmaillota, et le coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie.

Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. Et voici, un ange du Seigneur leur apparut, et la gloire du Seigneur resplendit autour d’eux. Ils furent saisis d’une grande frayeur.

Mais l’ange leur dit: Ne craignez point; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie: c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur. Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez: vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche.

Et soudain il se joignit à l’ange une multitude de l’armée céleste, louant Dieu et disant: Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée!

Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres: Allons jusqu’à Bethléhem, et voyons ce qui est arrivé, ce que le Seigneur nous a fait connaître. Ils y allèrent en hâte, et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche.

Après l’avoir vu, ils racontèrent ce qui leur avait été dit au sujet de ce petit enfant. Tous ceux qui les entendirent furent dans l’étonnement de ce que leur disaient les bergers.

Marie gardait toutes ces choses, et les repassait dans son coeur. Et les bergers s’en retournèrent, glorifiant et louant Dieu pour tout ce qu’ils avaient entendu et vu, et qui était conforme à ce qui leur avait été annoncé.

Ou le début de l’enseignement du Christ : les Béatitudes (Évangile selon Matthieu 5:1-16)

Voyant la foule, Jésus monta sur la montagne; et, après qu’il se fut assis, ses disciples s’approchèrent de lui. Puis, ayant ouvert la bouche, il les enseigna, et dit:

Heureux ceux qui mendient l’Esprit, car le royaume des cieux est à eux!
Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés!
Heureux les humbles de coeur, car ils hériteront la terre!
Heureux ceux qui ont faim et soif de vie juste, car ils seront rassasiés!
Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde!
Heureux ceux qui ont le coeur pur, car ils verront Dieu!
Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés enfants de Dieu!
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des cieux est à eux!
Heureux serez-vous, lorsqu’on vous outragera, qu’on vous persécutera et qu’on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l’allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux; car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous.

Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on? Il ne sert plus qu’à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes.

Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée; et on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison.

Que votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes oeuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui est dans les cieux.

Ou cette parabole qui est le cœur de l’Évangile (Luc 15:1-7)

Les gens de mauvaise vie s’approchaient de Jésus pour l’entendre. Les pharisiens et les scribes murmuraient, disant: Cet homme accueille des gens de mauvaise vie, et mange avec eux.

Mais il leur dit cette parabole:

Lequel d’entre vous, s’il a cent brebis, et qu’il en perde une, ne laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour aller à la recherche de celle qui est perdue, jusqu’à ce qu’il la trouve? Lorsqu’il l’a trouvée, il la met avec joie sur ses épaules, et, de retour à la maison, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit: Réjouissez-vous avec moi, car j’ai trouvé ma brebis qui était perdue.

De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui changent de mentalité, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de changer de mentalité.

Ou ce poème de Jean qui ouvre son témoignage sur le Christ (Jean 1:1-18)

Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle. En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas reçue.

Il y eut un homme envoyé de Dieu: son nom était Jean.  Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous croient par lui.  Il n’était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la lumière.

Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l’a pas connue. Elle est venue chez les siens, et les siens ne l’ont pas reçue. Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu.

Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.

Jean lui a rendu témoignage, et s’est écrié: C’est celui dont j’ai dit: Celui qui vient après moi m’a précédé, car il était avant moi.

Et nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce pour grâce; car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.

Personne n’a jamais vu Dieu; Dieu le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître.

Ou l’hymne chanté par Marie la mère de Jésus pour chanter le salut de Dieu (Évangile selon Luc 1:46-55)

Marie dit: Mon âme exalte le Seigneur,
Et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur,
Parce qu’il a jeté les yeux sur la bassesse de sa servante.
Car voici, désormais toutes les générations me diront bienheureuse,
Parce que le Puissant a fait pour moi de grandes choses.
Son nom est saint,
Et sa miséricorde s’étend d’âge en âge Sur ceux qui le cherchent.
Il a déployé la force de son bras;
Il a dispersé ceux qui avaient dans le coeur des pensées orgueilleuses.
Il a renversé les puissants de leurs trônes,
Et il a élevé les humbles.
Il a rassasié de biens les affamés,
Et il a renvoyé les riches à vide.
Il a secouru Israël, son serviteur,
Et il s’est souvenu de sa miséricorde,
Comme il l’avait dit à nos pères,
Envers Abraham et sa postérité pour toujours.

 

On peut aussi chanter un cantique de Noël (si plusieurs savent chanter pas trop mal 🙂

Voici les paroles de quelques cantiques et un accompagnement pour aider au chant.

♬  Chant « Ô peuple fidèle »

  1. Ô peuple fidèle,
    Jésus vous appelle,
    Venez, triomphants, joyeux,
    Venez en ces lieux !
    O peuple fidèle,
    Venez voir le roi des cieux !
    Que votre amour l’implore,
    Que votre foi l’adore
    Et qu’elle chante encore
    Ce don précieux !
  2. Là, dans l’humble étable
    Froide et misérable,
    Des bergers le grand amour
    Lui forme une cour.
    Dans cette humble étable
    Accourez à votre tour.
    Que votre amour l’implore,
    Que votre foi l’adore
    Et qu’elle chante encore
    Sa gloire en ce jour !

♬   Chant « Voici Noël, ô douce nuit»

  1. Voici Noël, ô douce nuit !
    L’étoile est là qui nous conduit.
    Allons donc tous avec les mages
    Porter à Jésus nos hommages,
    Car l’Enfant nous est né,
    Le Fils nous est donné !
  2. Voici Noël, oh ! quel beau jour !
    Jésus est né, quel grand amour !
    C’est pour nous qu’il vient sur la terre,
    Qu’il prend sur lui notre misère,
    Un Sauveur nous est né,
    Le Fils nous est donné !

♬   Chant « Les anges dans les campagnes »

  1. Les anges dans nos campagnes
    Ont entonné l’hymne des cieux
    Et l’écho de nos montagnes
    Redit ce chant mélodieux :
    Gloria in excelsis Deo ! (bis)
  2. Apprenez tous la naissance
    D’un roi sauveur en Israël !
    Que dans sa reconnaissance
    La terre chante avec le ciel :
    Gloria in excelsis Deo ! (bis)
  3. Vers l’enfant qui vient de naître
    Accourons tous avec bonheur
    Le ciel nous l’a fait connaître :
    Emmanuel, le Dieu sauveur.
    Gloria in excelsis Deo ! (bis)

♬   Chant « Il est né, le divin enfant »

  • Refrain :
    Il est né, le divin enfant !
    Jouez, hautbois, résonnez musettes !
    Il est né, le divin enfant !
    Chantons tous son avènement !
  1. Depuis plus de quatre mille ans
    Nous le promettaient les prophètes,
    Depuis plus de quatre mille ans,
    Nous attendions cet heureux temps. Refr.
  2. Qu’il est beau ce divin enfant !
    Sa beauté, sa grâce est parfaite,
    Qu’il est beau ce divin enfant !
    Qu’il est doux ! Ah ! qu’il est charmant ! Refr.

Prière :

On peut prier ensemble la prière que Jésus a enseigné (Le Notre Père)

Notre Père qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.

Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.

Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi
à ceux qui nous ont offensés,

et ne nous laisse pas entrer en tentation,
mais délivre-nous du mal.

Car c’est à toi qu’appartiennent :
Le règne, la puissance et la gloire,
pour les siècles des siècles.

Amen.

Bénédiction

Et enfin que quelqu’un dise la bénédiction :

La grâce de notre Seigneur Jésus-Christ,
l’amour de Dieu le Père
et la communion du Saint-Esprit
sont avec chacune et chacun de nous.

Dieu nous bénit, nous et ceux qui nous sont chers,
auprès et au loin.

Gloire à Dieu au plus haut des cieux,
paix sur la terre
car sa bienveillance est sur chaque personne.

Amen

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6 Commentaires

  1. Pascale dit :

    « Il peut commencer en expliquant que c’est dans le respect de la foi ou de l’absence de foi de chaque personne, bien sûr, mais puisque c’est une fête de Noël, autant fêter Noël. »
    Bien entendu, je ne suis pas dans toutes les chaumières, mais personnellement j’ai du mal à imaginer ce type de célébration dans une famille où se côtoient croyants et non croyants. J’ai l’impression que le non croyant se sent toujours agressé, non respecté dans son absence de foi. Et peut-être que, dans le fond, je pense même qu’il a raison, que faire une telle suggestion suppose l’adhésion de tous et non pas une écoute polie.

    1. Marc Pernot dit :

      Ce n’est pas toujours facile. Mais c’est quand même pas mal aussi d’apprendre en faille à vivre la bienveillance. Faire place à ce qui est élevé en chacun même si ce n’est pas partagé par tous, l’addition de ces richesses. C’est ce que permet la politesse, la bienveillance de ceux qui ne croient pas quand quelques uns prennent 5 minutes pour évoquer l’origine de Noël quand on fête Noël. A condition que ces 5 minutes ne soient absolument pas péjoratives contre ceux qui ne croient pas, bien sûr. Dans une atmosphère bienveillante, cela peut susciter des débats intéressants, du genre : je ne suis pas croyant, pas pratiquant, mais voilà ce qui fait sens pour moi : telle solidarité, philosophie, inspiration. Ces 5 minutes peuvent d’ailleurs être conclues par cette proposition à ceux qui le désirent de dire, en ce temps particulier, un mot, une phrase de ce qui les inspire ? Après tout dépend le degré de bienveillance qui règne parmi les personnes du groupe réuni. Une large proportion de la population redoute ces fêtes de famille imposées, réunissant des personnes qui ne se fréquentent par ailleurs pas volontiers…

  2. Morgane dit :

    Bonjour,
    Merci pour ces propositions, même si je dois dire les trouver trop formelles et plutôt réservées au culte au temple mais c’est mon avis personnel!
    Je vous partage ici mon expérience personnelle. Mon grand-père catholique avait l’habitude de toujours dire (ou faire lire) un petit mot, prendre 5-10min pour redire le sens de Noël pour lui aujourd’hui. Il l’a toujours fait avec un grand esprit d’ouverture envers les nouveaux venus parfois d’autres cultures. Les enfants présentaient ensuite leurs « talents » musicaux ou sportifs.
    Pour aider mon grand père vieillissant, j’ai proposé ce que j’aime : jouer des scènettes de la Bible en sketch un peu improvisés.
    Mais il est désormais décédé et je me questionne car nombre de cousins ou de mes sœurs ne sont pas chrétiens. Peut être pourrais-je proposer que chacun partage ce qui l’anime, comme vous dites. Sinon raconter la parabole de la brebis perdue que vous proposez. Et ensuite proposer que chacun prenne un temps pour réfléchir ou dessiner sur quelle obscurité intérieure, il / elle aimerait de la lumière (proposition artistique dans un temple anglican de Londres).
    Joyeux Noël à vous et vos proches !

    1. Marc Pernot dit :

      Grand merci, Morgane. C’est tout à fait dans l’esprit de ce que des familles font et que j’essayais de partager ici.
      L’idée de partager les talents est très sympa.
      Joyeux Noël.

  3. Morgane dit :

    Bonsoir à vous,
    Je tenais simplement à vous partager ma reconnaissance envers votre travail, car cet article m’a poussé à proposer de dire un petit mot chrétien auprès de ma famille à Noël. Finalement j’ai choisi l’une de vos méditations de versets où vous aviez remplacé le mot Amour par Dieu chez Paul (Dieu est patient, il est bienfaisant…). Je crois que cela a permis un beau et court témoignage, accessible et respectueux de tous.
    Dans l’espérance que 2024 vous réserve de belles surprises à vous aussi !

    1. Marc Pernot dit :

      Chère Morgane
      Excellentissime.
      Mil mercis pour cette suggestion.
      Bravo d’avoir eu cette parole. C’est effectivement un acte d’amour pour vos proches (et pour Dieu).

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