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Notre jeunesse serait découragée, les populations de nos pays occidentaux seraient désespérées, en manque d’un souffle qui les porte. Je vous propose de relire dans le livre d’Ésaïe le chapitre 40 « Consolez, consolez mon peuple » : une vocation que Dieu nous adresse ?
Ce matin, laisse-moi t’appeler ainsi « El Shaddaï, Dieu des montagnes » (père Hyacinthe Vulliez)Ou comment l’émerveillement et la joie de l’effort dans la nature peut-être vécu comme un élan de foi, un élan vers Dieu et vers soi, en vérité.
Un théologien demande à Jésus : « Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? » (Luc 10:25)La première des grâces qui nous est faite est d’être nous, d’être vivant. Il n’y a rien à faire pour cela, c’est comme un héritage. Quand cette vie peut « déborder » alentour, nous sommes alors source de vie, à notre mesure. Tout naturellement, sans que cela soit commandé, comme un pommier donne des pommes. C’est alors aussi une grâce et c’est une joie.
En jouant du Bach, Pablo Casals s’éveillait chaque matin à la conscience que la vie est merveilleusePablo Casals (1876–1973), le grand grand maître du violoncelle témoigne : « Depuis quatre-vingts ans, je commence chaque journée de la même façon. Ce n’est pas une routine automatique mais quelque chose d’essentiel pour ma vie de tous les jours : je m’assieds au piano et je joue deux préludes et fugues de Bach. Je […]