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Cherchons le sens spirituel du bon grain et de l’ivraie (Matthieu 13:26) : comment discerner ce qui fait grandir ou nuit à votre existence ?
« Je suis l’Éternel ton Dieu : je mets mes paroles dans ta bouche, je t’ai abrité dans l’ombre de ma main. » (Ésaïe 51:16)
Dans un service personnalisé, Dieu nous nourrit chaque jour et il nous protège toujours. Mais surtout, il est « mon Dieu », dans un attachement personnel indéfectible.
Pâques, c’est de l’hébreu pour nous : Hosanna, Alléluia, Amen. (Jean 20 ; Marc 11 ; Apocalypse 19 ; 2 Corinthiens 1)
Ces trois mots hébreux sont célèbres, ils nous invitent à un itinéraire de résurrection : la recherche de l’aide de Dieu avec Hosanna, la louange pour ce que nous avons déjà reçu avec Alléluia, et enfin la confiance en Dieu, rassemblant tout dans le Amen.
Je pense toujours à aider les autres avant moi, on m’a dit : « charité bien ordonnée commence par soi-même ».
Faut-il servir les autres avant soi-même ? Cela dépend des moments, de l’occasion, de notre vocation, et de nos forces. Cela demande donc de réfléchir et de prier pour se décider.
Jésus : « Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle. » (Jean 6:54)
En hébreu, « manger ma chair » s’entend comme « manger mon Évangile ». Les paroles de Jésus sont vraiment une nourriture pour notre être, elles ont à prendre en bouche, mâcher, déconstruire pour ressusciter notre être.
Seigneur je nous confie tous à Toi, nous, les pauvres types (d’après sœur Emmanuelle)
Une prière de cette merveilleuse grande dame, sœur Emmanuelle. Elle était d’une joie, d’une sincérité, d’une liberté, d’une simplicité. Et d’une foi, comme une intimité avec Dieu. Simplement car elle avait confiance.
Je me suis interrogé sur ma situation… Ma vie ! Elle est dormante et j’ai l’impression que Dieu m’a oublié.
Dieu n’est que bénédiction, et il n’oublie personne. Le malheur ne vient pas de lui. Bravo de chercher à prendre votre vie en main et de le faire avec Dieu. Mais chercher la prospérité est source d’amertume, comme but dans la vie, choisir plutôt le bien, l’amour et Dieu.
Jésus : « Personne n’a d’amour plus grand que celui qui donne sa vie pour ses amis. » (Jean 15:13)
Jésus a donné sa vie, non pour calmer la fureur d’un Dieu impitoyable, mais pour manifester précisément l’amour infini de Dieu pour chacun.
Perspective : « Tout est permis, mais tout n’est pas utile … » (pasteure Elisabeth Schenker)
D’où nous viennent ces jugements que l’on porte sur ce qu’il est permis de faire ou pas, quels en sont nos critères ?
Libre et sans entraves ? Une religion devrait nous y aider.
Il ne suffit donc pas d’avoir le droit de faire ce que nous voulons, la question est d’arriver à être en capacité effective de choisir ce que nous voulons en connaissance de causes, d’arriver ensuite à choisir, puis à faire ce que nous avons choisi. Tout un programme. Une religion devrai toujours être être une aide à cette émancipation
Qu’entends t-on exactement dans le terme » vie éternelle » ? Je ne suis pas intéressée à perdurer après ma mort, peut-être à du repos éternel bien mérité.
La vie après notre mort n’épuise pas le sujet de « la vie éternelle ». Elle commence en réalité dès maintenant, alors que nous vivons en ce monde. Elle est de l’ordre de la qualité d’être, de la qualité de vie, et cela intensifie extraordinairement notre vie dans l’instant que nous vivons.
Esprit de joie, que de fois je t’ai retrouvé au détour de l’imprévu… (Frère Michel Hubaut)
Un regard sur notre vie qui se travaille dans l’observation, la sagesse et la prière, avec l’aide de l’Esprit