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L’apôtre Paul propose une lecture allégorique de la Genèse faisant une distinction entre deux façons de concevoir la vie et la religion : soit motivée par la peur et la contrainte, soit motivée par la gratitude. Et cela change tout.
« Célébrez l’Éternel, car il est bon, et sa grâce est pour toujours ! » (Psaume 118:1)
Ce Psaume nous invite à la louange, pour le passé (à revisiter par une mémoire bienveillante), pour le présent (avec lui), et à anticiper avec impatience ce qu’il va encore inventer de bon pour nous.
L’onction royale : une opération à ne pas manquer (1 Samuel 9-10 et 15-16)
Quelle dimension de notre être devrait régner sur nous ? Ni la théologie, ni la morale, ni quoi que ce soit d’autre sauf le fait d’être le ou la bien-aimé de Dieu. Ça libère pour faire de la théologie, cela change notre rapport au service de l’autre, notre posture dans la vie.
Jésus : « Moi, je vous donne la paix, mais pas comme le monde la donne » (Jean 14:27)
Le monde bâtit la paix en partant du bas : des droits et devoirs, et c’est nécessaire. Christ apporte la paix de haut en bas : en recevant l’Esprit de Dieu qui fait de nous un apprenti artisan de paix, et c’est indispensable.
Jésus : « Personne n’a d’amour plus grand que celui qui donne sa vie pour ses amis. » (Jean 15:13)
Jésus a donné sa vie, non pour calmer la fureur d’un Dieu impitoyable, mais pour manifester précisément l’amour infini de Dieu pour chacun.
Être déchargé de fardeau par l’oubli (prédication d’Aymeric sur Jérémie 17:21-22 ; Éphésiens 2:8-9)
Une personne engagée dans la foi et dans l’église témoigne de ce que lui apporte la foi. Il reprendra une parole de sagesse de son grand père, portant des fruits dans sa vie de foi et d’humain. Un immense merci à lui.
Une bonté provocatrice (Matthieu 20:1-16)- prédication par le professeur Andreas Dettwiler (Université de Genève)
Les paraboles de Jésus,sont toujours une histoire de notre monde, et nous posant des questions. Celle-ci choque notre idée de justice, pour mieux nous ouvrir à la bonté, à l’image de Dieu.
Je suis comblé de chances : comment le vivre ? (Marc 10:23-29 ; Matthieu 6:9-13 ; 1 Corinthiens 13)
Est-ce que le fait d’avoir de la chance, d’être comblé, nous donne le devoir moral de donner ? Penser cela torpille la théologie de la grâce de Jésus-Christ. Cela conduit à une impasse et trouble nos actes de générosité, faits par devoir ou par calcul et non pas la grâce seule.
Dieu dit : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin. » (Apocalypse 21:5)
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Trouvez-vous fantaisiste de prier en chrétien avec un bol tibétain ?
D’une manière générale, vous pouvez vous sentir très libre d’être vous-même devant Dieu. C’est une conséquence de cet amour, de cette grâce infinie. Et si des personnes n’étaient pas contentes de votre façon de prier, eh bien, laissez-les simplement parler
Nos « charismes », cadeaux de Dieu à découvrir (Luc 10:25-42)
Le premier de tous les charismes : c’est d’être nous et d’être vivants. Ensuite chacun a des charismes particuliers. Par définition : un charisme est un don gratuit de Dieu. Nous ne sommes donc pas obligés d’en faire quelque chose. Mais c’est une source de joie de porter du fruit, et d’avoir fait un peu de bien, par grâce.
Pourquoi faudrait-t-il souffrir pour être aimé de Dieu, alors que par définition il est Amour et surtout amour inconditionnel ?
Bravo d’avoir écouté plein de choses différentes et de ne pas être tombée dans le panneau de ces prêches inquiétants. Dieu est amour et il fait, depuis toujours et sans cesse, tout pour nous relever, nous élever, nous faire du bien, nous épanouir. Nous voir souffrir et nous priver n’est pas quelque chose qui lui apporte la moindre satisfaction.