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Dieu a fixé de travailler pour notre bonheur, notre paix, notre espérance. Cela ne dépend pas de nous, c’est son choix à lui, Dieu. Cela ne veut pas dire que Dieu nous imposerait un endroit précis où nous tenir. Au contraire, cela nous libère.
Est-ce que la théologie, avec ses chicanes, ne finit pas par désespérer le croyant ?
La théologie, nous dit Paul, doit être par l’amour et pour l’amour. Alors elle est un véritable facteur de développement de la personne et de sa foi.
« Célébrez l’Éternel, car il est bon, et sa grâce est pour toujours ! » (Psaume 118:1)
Ce Psaume nous invite à la louange, pour le passé (à revisiter par une mémoire bienveillante), pour le présent (avec lui), et à anticiper avec impatience ce qu’il va encore inventer de bon pour nous.
L’onction royale : une opération à ne pas manquer (1 Samuel 9-10 et 15-16)
Quelle dimension de notre être devrait régner sur nous ? Ni la théologie, ni la morale, ni quoi que ce soit d’autre sauf le fait d’être le ou la bien-aimé de Dieu. Ça libère pour faire de la théologie, cela change notre rapport au service de l’autre, notre posture dans la vie.
Comment faire progresser les membres d’une paroisse sur le plan des idées ?
En se plaçant au dessus des personnes et leur faisant des leçons de morale, le prédicateur fait écran entre la personne et Dieu. C’est peu efficace et même nocif. Son action ne serait-elle pas plutôt d’aider les personnes à se poser des questions et à prier directement Dieu ?
La théorie de la « souffrance rédemptrice » et la souffrance des femmes
La théorie de la « souffrance rédemptrice » du Christ sur la croix a induit la légitimation de victimes innocentes pour sauver leur homme, leur couple, leur famille, leurs enfants, leur pays… et est donc lourdement tombé sur les épaules des femmes. C’est ce qu’ont montré des théologiennes. Faisons plus de théologie.
Est-ce que mon approche rationnelle pourrait présenter un obstacle à une foi authentique ?
C’est pour rendre notre foi la plus authentique possible que Jésus a mis l’accent sur la réflexion personnelle dans ce qu’il voulait apporter à ses disciples. Car il est très difficile de nous affranchir de nos préjugés et de l’opinion de la foule, de son ambiance, de ses humeurs, de ses émotions communicatives.
Libre et sans entraves ? Une religion devrait nous y aider.
Il ne suffit donc pas d’avoir le droit de faire ce que nous voulons, la question est d’arriver à être en capacité effective de choisir ce que nous voulons en connaissance de causes, d’arriver ensuite à choisir, puis à faire ce que nous avons choisi. Tout un programme. Une religion devrai toujours être être une aide à cette émancipation
Faire des reproches ? Oui, mais attention, ça peut user.
Dans sa parabole de la brebis perdue, Jésus évoque aussi 99 brebis que le berger laisse tranquilles. C’est de la théologie, c’est aussi une piste pour ne faire un reproche à une personne que l’on aime seulement après l’avoir félicitée 99 fois ?
Quel homme ! Quelle femme ! Un nouveau cycle de formation biblique en trois rencontres.
Formation à la lecture et l’interprétation de la Bible en trois rencontres. Le sujet de ce cycle particulier est la conception de l’humain, homme et femme, qui est proposée par la Bible (anthropologie).
Saint est le Dieu qui, dès ma jeunesse, m’a montré la vie et la lumière (prière du IIIe siècle)
Dans la Bible « être saint » c’est être reconnu comme spécial, unique en son genre, et digne d’être source de salut. Appeler Dieu « saint » signifie que nous plaçons Dieu comme au-dessus de tout dans notre vie, digne d’inspirer nos autres priorités et actions, car il est source de salut pour nous.
« Je suis le salut que tu recherche » (Actes 9:1-8, la conversion de Saint Paul)
Paul était un excellent homme qui faisait du mal. Quel était ses problèmes ? Comment va-t-il pouvoir progresser, se réorienter, se « convertir » ? Le texte nous donne des indices et cela peut être profitable pour nous et notre entourage.