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La question du carême pose celle de la liberté du chrétien, de la place de la religion par rapport à la foi personnelle. En cet anniversaire des 1700 ans du concile de Nicée, cela peut nourrir le débat.
Jésus : « Je ne suis pas venu pour abolir la Loi ou les Prophètes, mais pour l’accomplir. » (Matthieu 5:17)La Loi de Moïse propose des valeurs de bases fondamentales. C’est bien, seulement la vie est complexe. Jésus nous libère pour nous poser les bonnes questions avec Dieu et avoir le courage d’avancer, se sachant pardonné par Dieu.
Pourquoi faudrait-t-il souffrir pour être aimé de Dieu, alors que par définition il est Amour et surtout amour inconditionnel ?Bravo d’avoir écouté plein de choses différentes et de ne pas être tombée dans le panneau de ces prêches inquiétants. Dieu est amour et il fait, depuis toujours et sans cesse, tout pour nous relever, nous élever, nous faire du bien, nous épanouir. Nous voir souffrir et nous priver n’est pas quelque chose qui lui apporte la moindre satisfaction.
Que pouvez-vous me dire sur ce passage « Qui mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement… » (1 Corinthiens 11:27-32) ?Certains versets peuvent sembler menaçants. On peut les écarter, on peut aussi chercher s’il y a quelque chose à en tirer d’utile tout en étant compatible avec le fait que rien ne peut venir de dieu que du bien. Proposition de lecture de ces versets qui ont fait bien des dégâts…
Tous nos vœux de bénédiction ? En préparant nos cartes traditionnelles, cette formule m’interroge.Il est bon de s’interroger sur ce que nous disons, afin que ce ne soit pas de vagues formules de politesse, mais quelque chose qui vienne du cœur et qui ait du sens pour nous. Quels « vœux » pourraient effectivement « marcher » ?
Comment concilier ces deux traditions et mon vécu (évangélique et protestant) et que je continue à avoir de bonne relation avec le corps de Christ dans son ensemble?L’essentiel n’est pas d’être de telle ou telle église, d’avoir telle ou telle doctrine, ni de pratique religieuse. Jésus n’a jamais dit un mot là-dessus. L’essentiel est d’être en Christ, de vivre la confiance en Dieu, nous aimant tels que nous sommes, de faire ensuite comme on peut
Que faire pour obtenir une vie dite chrétienne?? Et comment ??Être chrétien c’est s’intéresser de façon déterminante à Jésus-Christ. Ce n’est pas entrer dans un système de doctrine obligatoires, de morale ou de rites imposés. C’est bien plus libre que cela. C’est prendre en main son propre cheminement, inspiré par Jésus-Christ, dans la confiance en Dieu.
Au cours de mes recherches, j’ai découvert votre site par hasard en interrogeant le moteur de rechercheQuand un conjoint croyant et ouvert, une recherche personnelle et internet font équipe ! Bravo madame, merci de prendre la peine d’exprimer de la gratitude, et bon chemin à vous.
J’ai vu sur internet pleine de chose qui sont interdite le jour du Sabbat. Je voulais prendre ma voiture pour aller à la patinoire, c’est un péché ?Se sentir libre vis-à-vis des commandements religieux, puisque l’amour de Dieu nous gardera toujours, nous pouvons donc nous sentir libre devant lui. Ensuite il est boen de se sentir responsable et de chercher ce qui est utile et bon.
Alors avant je lisais beaucoup de livres dans le genre romance , fantasy. Maintenant que j’ai la foi, je culpabilise de lire un autre livre que la Bible.Le péché, ce serait plutôt d’oublier Dieu ou de ne pas avoir confiance en lui. Ensuite c’est à chacun de discerner si telle activité nous fait du mal ou participe à notre développement.
J’avais un nouvel espoir de vivre ma foi… La religion m’a définitivement coupé les ailes !Question posée : Bonjour C’est en cherchant de l’information sur les différents schismes depuis l’église primitive mais aussi parce que je suis un absolument convaincue que Dieu se manifeste dans ma vie pour répondre à mes nombreux questionnements, que je suis tombée sur votre site…. J’ai toujours eu une relation très intime avec Dieu. Toute […]
Un bon berger et une porte pour les brebis (Jean 10:1-21 – Paraboles de Jésus selon Jean 1/2)Cette parabole comprend 2 des 7 « je suis » de Jésus, montrant ce que Dieu entend par un humain accompli : un berger pour d’autres, et une porte, faisant entrer afin de permettre de faire sortir en liberté.