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Dieu a fixé de travailler pour notre bonheur, notre paix, notre espérance. Cela ne dépend pas de nous, c’est son choix à lui, Dieu. Cela ne veut pas dire que Dieu nous imposerait un endroit précis où nous tenir. Au contraire, cela nous libère.
Poèmes spirituels sur la liberté, merci pour vos partages, voici vos perles rares
Compilation de poèmes spirituels sur le thème de la liberté, sélectionnés par des visiteurs du site. Merci à eux et aux poètes pour leur capacité à voir au delà du visible et pour leur travail.
Que veux-tu faire quand tu seras grand ? Quel genre de personne veux-tu être ?
Épictète aurait proposé cette méthode : « Commence par te demander quel genre d’homme tu veux être, après quoi, exerce-toi à agir selon ce modèle. » Le Christ nous inspire pour la première étape, quand à la seconde, elle se travaille dans la prière et dans le service.
Accepter d’être accepté, bien que l’on se sente inacceptable. (Galates 4:21-5:1)
L’apôtre Paul propose une lecture allégorique de la Genèse faisant une distinction entre deux façons de concevoir la vie et la religion : soit motivée par la peur et la contrainte, soit motivée par la gratitude. Et cela change tout.
J’ai dialogué avec un monsieur protestant qui m’a parlé du salut comme vie éternelle…
Un ami facebook parle du salut en identifiant le salut et la vie éternelle. Effectivement cela mérite d’être complété. La vie future est une chose, le « salut » est une évolution pour aujourd’hui et pour demain.
Comment faire progresser les membres d’une paroisse sur le plan des idées ?
En se plaçant au dessus des personnes et leur faisant des leçons de morale, le prédicateur fait écran entre la personne et Dieu. C’est peu efficace et même nocif. Son action ne serait-elle pas plutôt d’aider les personnes à se poser des questions et à prier directement Dieu ?
Perspective : « Tout est permis, mais tout n’est pas utile … » (pasteure Elisabeth Schenker)
D’où nous viennent ces jugements que l’on porte sur ce qu’il est permis de faire ou pas, quels en sont nos critères ?
Libre et sans entraves ? Une religion devrait nous y aider.
Il ne suffit donc pas d’avoir le droit de faire ce que nous voulons, la question est d’arriver à être en capacité effective de choisir ce que nous voulons en connaissance de causes, d’arriver ensuite à choisir, puis à faire ce que nous avons choisi. Tout un programme. Une religion devrai toujours être être une aide à cette émancipation
Mariage avec un croyant et une personne qui croit pas en Dieu, quelle solution ?
La base du couple est le respect de l’autre, il est donc problématique de juger l’autre sur son manque de foi. La base de la foi en Dieu est la sincérité du cœur, il est donc problématique de pousser une personne à se « convertir » en faisant pression, un chantage au mariage. Une célébration de mariage peut prendre en compte l’inspiration, religieuse ou non, de chacun des époux.
Étant une nouvelle convertie, je n’arrive pas à me retrouver dans les pasteurs, être centrés sur le show, la culpabilisation et les finances.
Pour choisir son église, c’est parfois délicat, il existe des signes qui sont des alarmes, ensuite aucune église n’est parfaite et l’on est amené à « en prendre et à en laisser ». Car une part de pratique collective est utile en complément de notre réflexion et de notre prière personnelles.
À propose du « carême », de l’article défini, et de quelques saucisses
La question du carême pose celle de la liberté du chrétien, de la place de la religion par rapport à la foi personnelle. En cet anniversaire des 1700 ans du concile de Nicée, cela peut nourrir le débat.
« Malheur ! Ils déclarent bien le mal, et mal le bien. Ils font de l’obscurité la lumière, et inversement » (Ésaïe 5:20)
Quand on déclare bien le mal, et mal le bien : c’est le sens même de toute pensée, de toute valeur, de toute parole qui est anéanti. Il n’y a plus de contrat social autre que la violence brute du : je le veux, donc j’y ai droit. C’est la promesse d’ensauvagement de tout groupe, de toute famille.