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Bravo d’avoir écouté plein de choses différentes et de ne pas être tombée dans le panneau de ces prêches inquiétants. Dieu est amour et il fait, depuis toujours et sans cesse, tout pour nous relever, nous élever, nous faire du bien, nous épanouir. Nous voir souffrir et nous priver n’est pas quelque chose qui lui apporte la moindre satisfaction.
« Ne crains pas, Marie, car tu as trouvé grâce devant Dieu. » (Luc 1:30)En lisant ce verset, vous pouvez remplacer « Marie » par votre propre prénom ou votre surnom. Car ce texte de l’Évangile a été écrit pour vous : Marie est ici votre figure. Vous pouvez alors relire ce verset, le méditer tranquillement, le laisser un moment infuser dans votre conscience, sentir votre cœur s’ouvrir, une paix s’établir.
J’ai fait le cauchemar que des terroristes qui envahissaient mon lycée : est-ce un message ? J’ai peur d’aller en cours.Nos rêves sont le reflet de nos peurs, de nos humeurs, de nos espérances. Le risque d’être victime d’attentat terroriste est bien moins important que de se faire attraper pas une voiture, un vélo ou une trottinette en traversant la rue. Il faut évaluer les risques, choisir les risques que nous prenons, puis avancer. Dieu tient à nous.
« Plus précieux que l’or fin, plus doux que le miel qui coule du rayon. » (Psaume 19:11)La douceur de Dieu, de son action, de ses conseils, de son regard. Cela contraste avec tout ce qui a chargé notre idée de Dieu, d’un Dieu terrible ou d’un Dieu lointain, que l’on craint ou que l’on préfère oublier. Sa douceur élève notre âme.
L’intérêt d’avoir une vraie relation authentique d’amour avec le Seigneur, faut-il privilégier d’avoir avec lui une relation de cœur plutôt que de raison ?Le sentiment religieux, l’émotion de notre amour pour Dieu est important. Tout miser là dessus serait dangereux, incomplet. Le « Shema » juif prend en compte 3 dimensions de notre être pour aimer Dieu. Jésus les reprend et ajoute la réflexion personnelle.
Un théologien demande à Jésus : « Maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle ? » (Luc 10:25)La première des grâces qui nous est faite est d’être nous, d’être vivant. Il n’y a rien à faire pour cela, c’est comme un héritage. Quand cette vie peut « déborder » alentour, nous sommes alors source de vie, à notre mesure. Tout naturellement, sans que cela soit commandé, comme un pommier donne des pommes. C’est alors aussi une grâce et c’est une joie.
Jésus dit cette parabole : « Le semeur sortit pour semer sa semence… » (Luc 8:5)Dieu est ce semeur. Le Christ est ce semeur. Et nous sommes ce semeur. Notre nature est de semer et la semence : c’est nous-mêmes que nous semons dans le monde quand nous sortons de notre coquille. La moisson dépasse notre espérance.
« Quel Dieu ! » 3/3 – Dieu qui évolue, qui vient ? (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)Il faut attendre le 4e concile de Latran (1215) pour attribuer à Dieu des qualités d’immuabilité, d’atemporalité. Pour beaucoup, cela semble indispensable à l’idée que l’on se fait de la perfection de Dieu. Est-ce biblique ? Ou est-ce que cela est inspiré par certaines philosophies grecques non bibliques ? Enquête dans la Bible et sur les conséquences sur notre vie et notre foi.
Jésus lui dit : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » (Marc 10:51)Jésus nous apporte un grand secours en nous faisant poser cette question. Chercher quelle sera notre visée, ce que nous aimerions être comme personne, dans l’idéal. Travailler sur notre cheminement, et en quoi compter sur l’aide de Dieu.
« Quel Dieu ! » 2/3 – Dieu qui massacre et envoie en enfer ? (à travers la Bible hébraïque et le Nouveau Testament)Que faire de ces textes de la Bible redoutables, inquiétants, parfois exploités, hélas, dans une « pastorale de la peur » ? Bien d’autres interprétations de ces textes terribles sont possibles. Je vous en propose au moins cinq. C’est notre prière, notre vision du bien et du mal, notre façon d’agir en ce monde qui sont influencées par notre théologie (heureusement)
Jésus priait Dieu comme « notre Père ». Je sens bien que je réfléchis trop, mais en tant que mère, cela m’embête que mon rôle soit si mal vu dans cette profonde prière …Il est vrai que la figure de Dieu comme « Père » est intéressante, même si elle pose un certain nombre de difficultés, voire de problèmes. Comment faire en sorte de bénéficier de cette extraordinaire prière du « Notre Père » en ce cas. Éléments de réflexion.
Que sera cet enfant ? La main de Dieu est sur lui. (Luc 1:66-79, cantique de Zacharie)Zacharie prononce ce Psaume pour la naissance de son fils Jean, qui deviendra Jean-Baptiste. A partir de sa joie et son espérance pour son enfant, il en vient à composer un programme de croissance pour chaque personne. Et c’est inspirant pour nous.