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Dans un service personnalisé, Dieu nous nourrit chaque jour et il nous protège toujours. Mais surtout, il est « mon Dieu », dans un attachement personnel indéfectible.
« Luttes au dehors, craintes au dedans. Mais Dieu nous a consolés. » (2 Corinthiens 7:5-6)
L’humain est un animal souffrant. Mis à part les cas graves, dans un certain sens c’ets normal que la vie humaine ne soit pas facile, c’est parce que notre vie est si riche de multiples dimensions et toujours en évolution.
Questions sur Jésus, ses miracles et sa part d’ombre éventuelle, sur les prophètes.
Les récits de miracle me semblent être écrits pour que le lecteur vive lui-même une expérience de salut, voire de résurrection. Ensuite, certains de ces récits s’appuient sur des faits matériellement historiques, d’autres ne le sont qu’au sens spirituel.
« Que le méchant se tourne vers l’Éternel, qui aura compassion de lui. » (Ésaïe 55:7)
Dieu est comme un médecin, et notre méchanceté est un symptôme, appelant compassion et soin de la part de Dieu. Son jugement est comme un bilan de santé utile et bienveillant.
Ferme tranquillement les yeux (Gerhard Tersteegen)
Cet auteur piétiste du XVIIIe siècle nous dit que « Si Christ naît en nous, le royaume de Dieu est rétabli en nous, et notre cœur redevient la maison de Dieu », que c’est le but essentiel de l’existence du Christ, la réalité de notre salut en lui. C’est le sujet de sa prière.
L’onction royale : une opération à ne pas manquer (1 Samuel 9-10 et 15-16)
Quelle dimension de notre être devrait régner sur nous ? Ni la théologie, ni la morale, ni quoi que ce soit d’autre sauf le fait d’être le ou la bien-aimé de Dieu. Ça libère pour faire de la théologie, cela change notre rapport au service de l’autre, notre posture dans la vie.
Jésus : « Moi, je vous donne la paix, mais pas comme le monde la donne » (Jean 14:27)
Le monde bâtit la paix en partant du bas : des droits et devoirs, et c’est nécessaire. Christ apporte la paix de haut en bas : en recevant l’Esprit de Dieu qui fait de nous un apprenti artisan de paix, et c’est indispensable.
Je me suis interrogé sur ma situation… Ma vie ! Elle est dormante et j’ai l’impression que Dieu m’a oublié.
Dieu n’est que bénédiction, et il n’oublie personne. Le malheur ne vient pas de lui. Bravo de chercher à prendre votre vie en main et de le faire avec Dieu. Mais chercher la prospérité est source d’amertume, comme but dans la vie, choisir plutôt le bien, l’amour et Dieu.
Jésus : « Personne n’a d’amour plus grand que celui qui donne sa vie pour ses amis. » (Jean 15:13)
Jésus a donné sa vie, non pour calmer la fureur d’un Dieu impitoyable, mais pour manifester précisément l’amour infini de Dieu pour chacun.
« Espérant contre toute espérance, Abraham eut foi. » (Romains 4:18)
Comment faire pour espérer ? cette capacité se prépare, se travaille, se nourrit : en faisant mémoire de toutes les petite set grandes bonnes surprise, d’une part, et d’autre part en s’habituant à côtoyer Dieu dans le quotidien, le laisser nous éveiller à un regard neuf.
La lecture du « Souci de soi » de Michel Foucault m’interroge. N’est-ce pas en s’accordant à soi que s’ouvre l’espace inouï de l’autre ?
Comme le stoïcisme, l’Evangile appelle à prendre soin de nous-mêmes et à nous développer extraordinairement. Sauf que dans la foi chrétienne, notre but n’est pas nous-mêmes, ni notre salut, mais de devenir serviteur, avec Dieu.
« Le monde est en train de passer, et son désir de lui, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure. »(1 Jean 2:17)
Le monde est en mutation rapide, cela est déstabilisant. C’est le signe qu’il est vivant, nous devons apprendre à surfer sur ce mouvement. Et à faire en sorte de participer pour que cette évolution aille dans le sens de la vie et non vers un écroulement.