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« Être bénédiction » c’est plus que faire de temps en temps quelque chose de bien : c’est un état, une qualité d’être, c’est une nature comme l’eau est mouillée et le feu brûlant : c’est être un pôle bienfaisant là où nous sommes.
« Des graines tombèrent sur la belle terre et donnèrent du fruit, l’une 100, d’autres 60 ou 30. » (Matthieu 13:8)Cette fin de la parabole du semeur racontée par Jésus est encourageante : nous avons beau ressentir comme un échec nos tentatives de faire le bien, d’être quelqu’un de bien ou pour l’avenir du monde. Mais un peu du bien qui existe germera et produira des fruits, rattrapant l’ensemble de la moisson.
Quelle est au juste « la bonne nouvelle du Règne (ou du Royaume) de Dieu dont parle Jésus ?la Bonne Nouvelle du Règne, ou Royaume de Dieu ou des Cieux : est que ce royaume à venir est déjà là. Partiellement, mais réellement. Cela nous concerne dans le présent et c’est un appel à que nous agissions.
Dieu dit : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin. » (Apocalypse 21:5)c
« Je suis le salut que tu recherche » (Actes 9:1-8, la conversion de Saint Paul)Paul était un excellent homme qui faisait du mal. Quel était ses problèmes ? Comment va-t-il pouvoir progresser, se réorienter, se « convertir » ? Le texte nous donne des indices et cela peut être profitable pour nous et notre entourage.
« Voyez comme ils s’aiment ! » (Tertullien ; Jean 2 – noces de Cana)Ce texte de l’Évangile est présenté comme LE signe majeur de ce que le Christ nous apporte : 1) L’amitié de Jésus est signe de l’amitié de Dieu pour nous. Les noces sont le signe de Dieu qui est amoureux de Nous. Marie est le signe de notre conscience qui réveille notre foi, puis se laisse conduire par la foi.
L’Éternel : « J’ôterai de votre chair le cœur de pierre et je vous donnerai un cœur de chair. » (Ézéchiel 36:26)Nous pouvons donc guetter nos progrès en veillant aussi, avec Dieu, sur notre bon cœur : notre capacité à réfléchir, à ressentir, à aimer et que cela joue sur nos décisions.
L’Éternel : « C’est dans le calme et la confiance que sera votre force. » (Ésaïe 30:15)Est-ce que la meilleure défense serait l’attaque ? Probablement pas, nous dit ce verset. C’est plutôt dans un cheminement de calme croissant qui vient d’une confiance croissante en celui qui nous pacifie et nous rend plus fort.
« Le Christ est mort pour nous » pour que nous continuions son œuvre ?Une jeune femme poursuit sa réflexion théologique, suite à la découverte de la foi chrétienne cette année. En route pour 2025.
Noël : aujourd’hui « Christ est notre Pâque » (Luc 2 ; Romains 6 ; 1 Corinthiens 10)Pour nous aider à saisir ce que Dieu nous apporte, Paul nous dit que « Christ est notre Pâque », c’est à dire qu’il opère notre libération. Paul Ricœur dit qu’en tant que croyant, nous pourrions nous demander comment libérer le fond de bonté de l’homme ? Il y a tellement de malheur, de désespérance, de violence.
Noël : Le salut a la nature d’un enfant (Paul Tillich)L’événement du salut, c’est la naissance d’un enfant. Un enfant est réel et n’est pas encore réel. Il est dans l’histoire, sans encore être historique. Sa nature est visible et invisible. Il est là et il n’est pas encore là. Telle est exactement la caractéristique du salut.
Pourquoi faudrait-t-il souffrir pour être aimé de Dieu, alors que par définition il est Amour et surtout amour inconditionnel ?Bravo d’avoir écouté plein de choses différentes et de ne pas être tombée dans le panneau de ces prêches inquiétants. Dieu est amour et il fait, depuis toujours et sans cesse, tout pour nous relever, nous élever, nous faire du bien, nous épanouir. Nous voir souffrir et nous priver n’est pas quelque chose qui lui apporte la moindre satisfaction.