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Ce texte de l’Évangile est présenté comme LE signe majeur de ce que le Christ nous apporte : 1) L’amitié de Jésus est signe de l’amitié de Dieu pour nous. Les noces sont le signe de Dieu qui est amoureux de Nous. Marie est le signe de notre conscience qui réveille notre foi, puis se laisse conduire par la foi.
« L’humain regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Éternel regarde au cœur. » (1 Samuel 16:7)C’est la promesse que Dieu ne s’arrête pas à l’écorce de notre vie mais voit notre moi profond et il l’aime. Ensuite, Dieu nous aide à voir au-delà de la surface. Par la prière, il nous aide à voir notre vie, notre être et les autres en profondeur et à mieux aimer.
Dieu est amour. Avant la création de l’univers, Dieu n’avait personne à aimer ?L’univers ne se résumé pas à l’humain. Dieu aimait l’univers avant que l’homme existe, même si c’était avec un retour différent, voire pas de retour. Il est délicat de penser un « avant » l’unives, car en science, il n’est pas évident qu’il y ait du temps sans espace.
Trouvez-vous fantaisiste de prier en chrétien avec un bol tibétain ?D’une manière générale, vous pouvez vous sentir très libre d’être vous-même devant Dieu. C’est une conséquence de cet amour, de cette grâce infinie. Et si des personnes n’étaient pas contentes de votre façon de prier, eh bien, laissez-les simplement parler
La liberté, pour quoi faire ? par le professeur Bernard RordorfLa liberté et l’amour : l’une ne va pas sans l’autre. On ne peut aimer que librement ou, plus précisément, il faut être libre pour pouvoir aimer. Et inversement, la plus grande liberté se réalise dans l’amour, car on ne peut pas être libre davantage qu’en aimant.
Pourquoi faudrait-t-il souffrir pour être aimé de Dieu, alors que par définition il est Amour et surtout amour inconditionnel ?Bravo d’avoir écouté plein de choses différentes et de ne pas être tombée dans le panneau de ces prêches inquiétants. Dieu est amour et il fait, depuis toujours et sans cesse, tout pour nous relever, nous élever, nous faire du bien, nous épanouir. Nous voir souffrir et nous priver n’est pas quelque chose qui lui apporte la moindre satisfaction.
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (messages : juif, catholique, protestant, musulman, bahaï)Une célébration interreligieuse nous a réunis dans le temple de Cologny autour de ce thème « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », avec les communautés juives, chrétiennes catholique et protestante, musulmane , bahaïe). Dès lors que nous pensons qu’il y a un Dieu unique, toutes les prières convergent vers le même.
L’intérêt d’avoir une vraie relation authentique d’amour avec le Seigneur, faut-il privilégier d’avoir avec lui une relation de cœur plutôt que de raison ?Le sentiment religieux, l’émotion de notre amour pour Dieu est important. Tout miser là dessus serait dangereux, incomplet. Le « Shema » juif prend en compte 3 dimensions de notre être pour aimer Dieu. Jésus les reprend et ajoute la réflexion personnelle.
« L’Éternel fait de toi sa plus grande joie » (Sophonie 3:17)Selon Sophonie, Dieu aurait une grande joie de nous voir exister. Pourquoi ? Parce qu’il nous aime, et pourquoi nous aime-t-il ? C’est comme l’amitié dont parle Michel de Montaigne : parce que c’est lui, parce que c’est nous. C’est comme ça.
« Tu ne tueras pas » (Exode 20:13 ou Deutéronome 5:17)Ce commandement « Tu ne tueras pas » est un résumé de toute la Bible. Non seulement de ne pas tuer l’innocent, mais de ne pas tuer, tout court. Jésus l’étend à « tu aimeras ton prochain comme toi-même », appelant à ne pas laisser dépérir la vie de notre prochain ni notre propre vie.
Quand on me parle de guerre divine où la destruction d’un peuple est la volonté de Dieu, cela ne me convient guère. Quelle piste d’interprétation ? Je lis en ce moment Ésaïe.Il y a certes des combats dans la Bible comme dans notre monde. Dieu est toujours du côté de la vie, il ne massacre personne, mais tout ce qui est méchant en nous, ce qui nous rend captif et nous fait souffrir, nous et ceux qui nous entourent.
Napoléon reconnaît qu’il s’est trompé en pensant possible de bâtir un empire par la force. Conseil de stratégie utile pour tous les 7 octobre, les 24 février…Napoléon aurait remarqué, à la fin de sa vie, que toutes les tentatives de bâtir un empire sur la force ont échoué : Alexandre, César, Napoléon. Alors que Jésus a bâti par l’amour et que 2000 ans après son Royaume reste incroyablement vivant. Leçon de stratégie réaliste. A l’usage des tyrans, mais surtout de nous-mêmes.